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Kompromat raté contre Juan Branco : les plaintes d’Eva Lecomte et d’Anticor rejetées, une manipulation exposée

par | Mar 2, 2025 | Juan Branco, Procès, Société | 0 commentaires

La tentative de Kompromat montée par la présidente d’Anticor et Denis Robert contre Juan Branco est tombée à l’eau.

Les plaintes déposées par Eva Lecomte devant le parquet de Paris et devant la COMHADIS de l’ordre des avocats ont toutes deux été rejetées.

Eva Lecomte avait lourdement communiqué pour tenter de mettre en cause la probité de Juan Branco.

L’affaire est improbable. Cette employée de Gilles Filcheinstein et Stéphane Fouks, directeurs de l’agence de communication Havas, avait candidaté au cabinet de Juan Branco, moins de deux mois après y avoir été recrutée comme secrétaire.

Quelques semaines après être arrivée, elle avait tenté de soutirer des fonds à Juan Branco, et, afin de faire pression sur lui, avait tenté de se rapprocher, sans succès, de Médiapart et plusieurs autres médias, pour l’attaquer.

Après plusieurs essais infructueux, elle avait trouvé accueil chez Denis Robert, qui l’avait présentée à Elise Van Beneden, avocate et Présidente d’Anticor. Hasard sans doute, tous deux étaient visés par un témoignage de Juan Branco versé à une procédure pénale concernant le financement caché d’Anticor et de Blast par un milliardaire ayant logé sa fortune dans des paradis fiscaux, Hervé Vinciguerra.

Exposée par Maxime Rénahy, enregistrements à l’appui, cette manoeuvre n’est probablement pas sans rapport avec le départ d’Elise Van Beneden de la présidence d’Anticor et de son mandat d’administratrice de Blast.

Après avoir tenté de faire chanter Juan Branco, Eva Lecomte faisait publier de fausses allégations dans Libération à on son encontre en un article resté dans les annales, et, tout en missionnant son avocate pour tenter d’obtenir 30.000 euros de la part de Juan Branco, déclenchait une offensive devant la commission harcèlement de l’ordre des avocats de Paris et au pénal pour faire pression sur son ancien employeur.

Les décisions ont été sans appel, l’enquête pénale ayant été classée sans suite et la COMHADIS, après plusieurs auditions, rejetait l’ensemble des prétentions de Mme. LECOMTE.

L’ensemble des salariés et stagiaires du cabinet de Juan Branco au moment des faits avaient en effet décrit une personne ayant des comportements insultants et violents, particulièrement déstabilisateurs, et étant allée jusqu’à… demander à ce que son employeur l’aide à porter plainte contre son père.

Eva Lecomte a depuis été exfiltrée au sein du cabinet d’un ministre d’Emmanuel Macron, puis en son ministère, où elle exerce toujours, mais demande, avec l’assistance d’Elise Van Beneden, près de… 300.000 euros de dédommagements, pour un peu plus d’un mois de travail effectif au cabinet de Juan Branco.

On leur souhaite bon courage.

Sources:
Interrogé, le parquet de Paris, a confirmé un classement sans suite le 9 février 2024 de la procédure n°24009001025 initiée par Eva Lecomte pour « discrimination, exploitation de personne vulnérable, injure non publique, diffamation non-publique » (sic).

La décision de la COMHADIS de l’ordre des avocats du Barreau de Paris – 18 janvier 2024 a quant à elle été rendue publique sur le site aurores.org
https://aurores.org/commission-harcelement-et-discriminations-comhadis-branco-juan-eva-lecomte/