
Juan Branco innocenté
Après une campagne de presse ahurissante, et une double page dans Libération signée Willy Le Devin, Juan Branco a été innocenté par le Barreau de Paris, selon les informations auxquelles nous avons eu accès.
(…)Il ressort ainsi de tous ces éléments que les membres de la COMHADIS n’ont pas trouvé dans le comportement de Monsieur Juan BRANCO de manifestation de harcèlement ou de discrimination liée à l’état de santé de Madame Eva LECOMTE. (…)
(…) L’état de santé de Madame Eva LECOMTE n’était pas ignoré de Monsieur Juan BRANCO, qui n’apparaît pas avoir eu un comportement déplacé ou discriminant en raison de sa maladie. Il ressort des échanges téléphoniques qu’il a pu, au contraire, se montrer attentif à sa situation. En conclusion, la COMHADIS considère qu’il n’existe pas de faits de harcèlement et de discrimination pouvant être reprochés à Monsieur Juan BRANCO.
Il se trouve que l’accusatrice, Eva Lecomte, était en fait une employée d’Havas « envoyée » afin d’intégrer son cabinet. Celle-ci, tenez-vous bien, a immédiatement tenté un « kompromat » en se disant exploitée et moralement harcelée au bout de… moins de deux mois d’expérience, avant de se faire recruter au cabinet d’un ministre d’Emmanuel Macron, Christophe Béchu. Drôle de point de chute pour quelqu’un qui s’était présentée comme « prête à tout pour la cause ».
L’affaire est tellement grossière qu’elle pourrait prêter à rire, si ce n’était du fait de la complicité de la presse, des institutions, mais aussi de faux alliés. C’est ainsi que Eva Lecomte a été défendue par rien de moins que la présidente d’Anticor, Elise Van Beneden, et Denis Robert, furieux que Juan Branco ait révélé leurs liens avec un milliardaire, Hervé Vinciguerra.
La procédure, grâce à leur appui, a duré un an et demi, et a été lourdement publicisée avec les conséquences que l’on imagine.
De quoi s’interroger sur leurs méthodes, mais également sur les menaces qui pèsent sur Branco, toujours plus ciblé par la macronie. Depuis 2019 et la parution de Crépuscule, celui-ci fait l’objet de procédures et de tentatives de piège à répétition, la plus rocambolesque étant, il y a quelques semaines, un vrai-faux cambriolage avec tentative de kompromat à la clef, déjoué in extremis et ayant débouché sur l’arrestation de… prostituées paraguayennes.
Lorsqu’il était encore invité sur BFM TV, il avait annoncé la couleur, rappelant ironiquement que « chaque année, la Macronie tentait de l’emprisonner ». Surveillé par la CIA dès 2015, du fait de son engagement auprès de Julian Assange et de Wikileaks, comme cela avait été révélé publiquement des années plus tard, il a encore été arrêté en juillet 2023, sur ordre de la France, à Dakar, après avoir été enlevé en Mauritanie.
Jusqu’où iront-ils ?
Ils continueront car pour eux, la Nation et la République leur appartiennent. A partir du moment où il n’y aucune séparation des Pouvoirs, il n’y a aucune limite ni borne. Le Judiciaire s’est complétement s’est soumis et est aliéné à leur bras armé (les médias), tout espoir de voir cette illusion de la démocratie (qui fait me jeu total de l’extrême droite) prendre fin s’est fort bien éloigné.
On notera que des journalistes qui suivent Juan Branco n’ont jamais parlé de Coline Fay mais se la ramène pour parler de déontologie concernant Eva Lecomte qui n’a pas hésité à nuire à Juan Branco.
Non, madame Lecomte , une rupture conventionnelle ne s’impose pas. Quand on expose les autres en public en mentant, le retour de bâton est violent.
On remarquera que je peux commenter ici sans pb, ainsi que sur YouTube, sur Wattsapp mais pas répondre sur Twitter.
Quand le gouvernement viole la pauv’ Constitution, l’ insurrection est les plus indispensable des droits et le plus sacré des devoirs, l’ oubli, l’ ignorance ou le mépris des droits déclarés universels et inaliénable est la seule cause des malheurs du monde et de la corruption, vu la pègre de polytocards affairés à piétiner la séparation des pouvoirs, l’ injustice est leur règle, l’ immunité, le pseudo Conseil constitutionnel en jokers à l’ exclusif service des familles nées pour régner, dealers d’ armement, de pétrole, d’ eau, de médicaments, spéculateurs zélés addictes de gloire et fortune en misant sur les guerres, les famines… quoi qu’ il en coûte, les fascinés de pouvoir gazent planète et humanité au low cost, misant sur l’ amnésie inoculée, celle qui n’ a jamais entendu parlé du Conseil National de la Résistance rédigeant le préambule en 48 afin que jamais ne revienne une tyrannie de type nazie: les gouvernements doivent tout mettre en oeuvre pour que les hommes puissent traverser librement, mers et océans, d’ où DgaG le parrain Macround Up First et ses sbires maffieux les ministres, députés de leur Startuperware Neïschoen, VRP du WEF, Bildeberg